Vendredi, cela fera 20 ans que les femmes ont obtenu le droit d'être seins nus. Le 9 décembre 1996, la Cour d'appel de l'Ontario a annulé la condamnation pour outrage aux bonnes mœurs prononcée en 1991 à l'encontre de Gwen Jacob, rendant ainsi légal le port du haut nu pour toutes les femmes de l'Ontario. Gwen Jacob, alors étudiante à l'université, avait marché seins nus dans les rues de Guelph en juillet 1991 pour protester contre l'inégalité de la loi actuelle. http://www.canlii.org/en/on/onca/doc/1996/1996canlii1119/1996canlii1119.html Le 19 juillet 1991, Gwen Jacob a enlevé sa chemise et est rentrée chez elle à pied après avoir quitté l'université de Guelph. Elle est accusée d'avoir commis un acte indécent. (Article 173 du Code pénal du Canada)En savoir plus →

Il y a quinze ans aujourd'hui, le 9 décembre 1996, la Cour d'appel de l'Ontario a annulé la condamnation pour outrage aux bonnes mœurs prononcée en 1991 à l'encontre de Gwen Jacob, rendant ainsi légal le port du haut nu pour toutes les femmes de l'Ontario. Gwen Jacob, alors étudiante à l'université, avait marché seins nus dans les rues de Guelph en juillet 1991 pour protester contre l'inégalité de la loi actuelle. http://www.canlii.org/en/on/onca/doc/1996/1996canlii1119/1996canlii1119.html Le 19 juillet 1991, Gwen Jacob a enlevé sa chemise et est rentrée chez elle à pied après avoir quitté l'université de Guelph. Elle est accusée d'avoir commis un acte indécent. (C'était en fait la deuxième fois qu'elle se promenait torse nu.En savoir plus →

Il y a vingt ans aujourd'hui, le 19 juillet 1991, Gwen Jacob a enlevé sa chemise et est rentrée à pied de l'université de Guelph. Elle a été accusée d'avoir commis un acte indécent (article 173 du code pénal canadien). (C'était en fait la deuxième fois qu'elle se promenait torse nu dans la ville de Guelph par une température de 33°C. La première promenade n'avait suscité que de la perplexité. La première promenade n'a suscité que des réactions perplexes. Mais le deuxième jour, elle s'est heurtée à plus d'opposition lorsqu'elle s'est arrêtée pour parler dans la rue Ontario. Une certaine Mme Pettifer a appelé la police après que Gwen Jacob eut refusé sa demande de se couvrir. Une autre habitante de cette rue, Mme Snarr,En savoir plus →